samedi 13 août 2011
samedi 16 juillet 2011
jeudi 5 mai 2011
De cesse à flaque on tient
Né en creux au fond d'un puits sans joie
Désunis, transploré
Ex - excessif du manque de plaie
Faille du grand cerf en bourg
Viens roux au sang, rempile à Suze
Trempe tremplin, trop plein
Kleb pinpin et autres parts cachées
Claque à caresses des flots
Flaque multiples des pis retours
A bord, à tort, d'eau point
Basse à terre des tapis d'riz mansard
jeudi 14 avril 2011
Mes mèches noires : une volée d'habitude sur ta barrière des contenus
Ma parole règne sur le formel de l'atmosphère
Tu questionnes mes ni même main, ni même pont
Tu es mis en présence de la perte de ton permis d'oral
Ta volitude perqueste à Barparo
Tes lèvres blanches : nos différents outils en échec
Un traitement sous ta loi d'angles troubles
Ta source frontale au service de mes ombres
La grandeur du bilan, une mesure en majeur d'aune
Ma traite d'if surmane à Sourroux
Nos corps gris : des bâtis en plan d'intrus
Nos images justifient les charges postales
Ton groupe de points formate l'entour
Tu bandes en ville, je tire en est-ce que
Nos batours d'an talinent sur le Trubans.
Paola est là dans toute sa culpabilité
Coupable de leurs erreurs
Coule pas, ola, coule pas
Incapable coupable Paola
Leurs mots si forts
Paola à l'incapable du mensonge
Verra sans vérité le monde
Verra ou Paola s'échappe
Loin, sans terre et vraie
Paola s'entend dire l'horrible de sa bouche décousue
Les fils de ses grands yeux pour dire ce qu'on lui tait
Elle veut voir Paola, sans aucun écrans d'opaques
Prédire un dessin sur peau de lit
Parler à force de voix
du plus fort écrase le faible
Insaisissable impoli qui délie ses flux d'avoir
et relie ses fils de soie en place pudique
Potence au râteau raclant les dents sociales à bouffer l'air
Se terrer loin de ces avides sans potasse
L'errance ignore les béants
L'air rance étouffe les séants
Caisson sur quai des troubles
L'étanche des vidés délivre l'onde des cils noués
Prédire un sein sous ta chair à plis
Invitée sur la place à pendre
sans chape sous trappe
Qu'on bouille les multiples empilés
Brûler à l'arrière du sautoir mou
En tête de son d'hache de soi
Un pépin ramolli
Un fruit léger d'espoir
samedi 5 février 2011
Manarrée
Deux langues
Dehors, dedans
Une langue interdite ici
Ta langue des rangs, un jour déraille
Mon oreille tournée vers ta bouche
La main en dedans, tu avales ton mot
Deux langues
Dedans, dehors
Un mot en tendre, le toucher
Il me désigne mais m'échappe
Tout bien gardé, un écrin sous ton palais
Mon épée de confiance quête sous ta langue
Une touche trop faible
Deux langues
Dehors, dedans
Mono ma langue
Qu'aucun pour la couvrir
Priant que tu me l'offres
Un refus dans ton silence
Muette en deux langues
Te dire, t'effacer, te renier
Accroupie dans tes pensées
Deux langues
Dedans, dehors
L'émotion née que mienne
Tu m'apprends, mon éloignée
Tu parles ma terne, en silence
Ma narrée n'a guère de choix
Déchiffrant nos sons en sens
Sur ta chaise, privée de langue
Deuxième année que tu mets tête dans nos mots sur la petite table orangée
Tu ranges les étiquettes de l'identité du saint Aigre en pièce de pensées
vendredi 4 février 2011
DANS CEUX
Elle prépare son prochain spectacle
Le téléphone, d'habitude murmuré, en main de peine
Elle s'étire, le corps en vibration
Mouvement du disque au bout des doigts
Immobile, ses yeux serrés
Elle respire, la voix masculine l'emporte
Elle a l'âge de la peau du ciel
L'orage frotte sa tête d'éponge
Des légumes, en cadence, montaient à son ventre
Elle a passé sa vie effacée dans le mot
Son chant vieilli en un mât de danseurs
Sa nuque, dans les épaules
La liberté d'une brebis
La bouche en escalier oublié
dimanche 9 janvier 2011
vois y a je
Aux frontières où tout claque tout sombre, mes douces
Ailleurs des autres blottis en moi-même
Seule, les doutes voyagent
Le tout éteint éclaire les ailleurs vrais
L'île aux silences revient ma terre
Nouvelles racines d'illusions
Répétition d'une île aux cris
Mon ailleurs, fantôme élu
Loin, sans à se déplacer
Vol rare est aller
Point du retour toujours impossible
Une escale risque de te, de me, mais sans
Hall d'accès au sens
Le surpoids et les déchets
Réclameraient un désir toujours plus grand
Taxer l'artificialité
Un vrai écran de voyage
De soi, seule et sombre et pâle
Vol en autopartance expirée.
Ailleurs des autres blottis en moi-même
Seule, les doutes voyagent
Le tout éteint éclaire les ailleurs vrais
L'île aux silences revient ma terre
Nouvelles racines d'illusions
Répétition d'une île aux cris
Mon ailleurs, fantôme élu
Loin, sans à se déplacer
Vol rare est aller
Point du retour toujours impossible
Une escale risque de te, de me, mais sans
Hall d'accès au sens
Le surpoids et les déchets
Réclameraient un désir toujours plus grand
Taxer l'artificialité
Un vrai écran de voyage
De soi, seule et sombre et pâle
Vol en autopartance expirée.
vendredi 7 janvier 2011
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