jeudi 14 avril 2011
Mes mèches noires : une volée d'habitude sur ta barrière des contenus
Ma parole règne sur le formel de l'atmosphère
Tu questionnes mes ni même main, ni même pont
Tu es mis en présence de la perte de ton permis d'oral
Ta volitude perqueste à Barparo
Tes lèvres blanches : nos différents outils en échec
Un traitement sous ta loi d'angles troubles
Ta source frontale au service de mes ombres
La grandeur du bilan, une mesure en majeur d'aune
Ma traite d'if surmane à Sourroux
Nos corps gris : des bâtis en plan d'intrus
Nos images justifient les charges postales
Ton groupe de points formate l'entour
Tu bandes en ville, je tire en est-ce que
Nos batours d'an talinent sur le Trubans.
Paola est là dans toute sa culpabilité
Coupable de leurs erreurs
Coule pas, ola, coule pas
Incapable coupable Paola
Leurs mots si forts
Paola à l'incapable du mensonge
Verra sans vérité le monde
Verra ou Paola s'échappe
Loin, sans terre et vraie
Paola s'entend dire l'horrible de sa bouche décousue
Les fils de ses grands yeux pour dire ce qu'on lui tait
Elle veut voir Paola, sans aucun écrans d'opaques
Prédire un dessin sur peau de lit
Parler à force de voix
du plus fort écrase le faible
Insaisissable impoli qui délie ses flux d'avoir
et relie ses fils de soie en place pudique
Potence au râteau raclant les dents sociales à bouffer l'air
Se terrer loin de ces avides sans potasse
L'errance ignore les béants
L'air rance étouffe les séants
Caisson sur quai des troubles
L'étanche des vidés délivre l'onde des cils noués
Prédire un sein sous ta chair à plis
Invitée sur la place à pendre
sans chape sous trappe
Qu'on bouille les multiples empilés
Brûler à l'arrière du sautoir mou
En tête de son d'hache de soi
Un pépin ramolli
Un fruit léger d'espoir
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